Samedi, lendemain de vendredi (pour ceux qui ne suivent pas.) (Un bon début, non ?)
Dans le ciel les corbeaux volent bas.
Sur une immense étendue verte se dresse, dominant la vallée sans fin, le stade Condorcet (1743-1794 participa grandement à la mise en place de l’instruction publique. Et vous avez qu’à bien vous tenir.)
8h15, et malgré les congères, aux médires de certains, nous attendons le président. (Est-ce bien normal ? M’interroge-je. Construction, peut-être, un peu lourde ? Quoi que !)
8h30 nous attendons les clés.
11h00 nous attendons l’eau … chaude ?… Mais j’anticipe. Entre temps, un match irréprochable … 2, 3 hors jeu … 1 ou 2,allez, peut-être 3 buts ratés, mais eux aussi (on avait un bon goal) Christophe s’encolère. 3 à 1.
Un peu plus tard, au Memphis, tout semble rentré dans l’ordre.
Puis j’m’en suis rentré.
Dans le ciel les corbeaux volent bas.
Bonne semaine.